La solidarité et le « prendre soin » sont au coeur du projet universitaire de la Catho de Lille.
Nous transmettons ces valeurs aux 38 500 étudiants de nos facultés et de nos écoles tout au long de leur cursus.
À ce titre, nos établissements mettent à disposition des dispositifs solidaires pour accueillir les vulnérabilités quelle qu’en soit la nature.
Ces initiatives sont portées par notre Fondation et c’est grâce à votre générosité que nous pouvons les maintenir et les développer au coeur de notre université. Je vous en remercie sincèrement.
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L’Université catholique de Lille se mobilise et adapte ses dispositifs de solidarité, pour apporter un soutien sans faille et concret à nos 130 étudiants impactés par la guerre en Ukraine.
_ Mettre à disposition des hébergements pour les étudiants qui étaient logés à l’extérieur de nos établissements.
_ Apporter une aide psychologique en mettant à disposition des étudiants une écoute par le biais d’une psychologue bilingue.
_ Donner une aide alimentaire, sur recommandation des assistantes sociales, et un accès à l’épicerie solidaire pour faire face aux dépenses de la vie courante.
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L’Université prend soin de nos étudiantes à travers la précarité menstruelle et les produits d’hygiène féminine : luttons pour le bien-être et la dignité de nos étudiantes
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À l’écoute des besoins des étudiantes de nos facultés et écoles, l’Université catholique de Lille s’engage pour lutter contre la précarité menstruelle et pour le bien-être féminin.
Alors que 33% des étudiantes n’ont pas les moyens de se procurer des tampons et/ou serviettes, ce projet porté par la Fondation a pour but de développer le dispositif existant afin de rendre accessible gratuitement les produits d’hygiène
féminine au plus grand nombre de ses étudiantes, notamment les plus précaires. À ce jour, nous avons seulement 12 distributeurs pour équiper les toilettes de nos facultés et de nos écoles, ce qui fait à peine un distributeur par école.
- NOTRE OBJECTIF SOLIDAIRE : doubler notre offre pour permettre aux étudiantes de nos établissements de bénéficier de cette action innovante.
- NOTRE BESOIN : acquérir 12 distributeurs supplémentaires et assurer leur remplissage annuel en protections féminines 100% biologiques, ce qui correspond par exemple à un don de 7,5€ par mois (2,55€ par mois après déduction fiscale) et par étudiante, pendant un an.
Témoignage de Chloé
Etudiante de l’Université catholique de Lille
2022 ♦ Défi social
“Les protections sont très chères.
En mettre à disposition des étudiantes qui n’ont pas le budget, je trouve ça bien. Avoir plus de distributeurs serait un grand plus car on n’aurait pas besoin de courir partout pour trouver les établissements ou les étages où ils sont placés. Ce serait une pression en moins.”
Le prénom et la photo ont été modifiés pour des raisons de confidentialité
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L’Université prend soin des personnes dyslexiques : offrons aux étudiants des solutions en autonomie
Rester une Université ouverte à tous en permettant aux étudiants en situation de handicap de gagner en autonomie est l’une des priorités de notre Université.
Face à un nombre important d’étudiants souffrant de dyslexie, la Fondation souhaite s’engager aux côtés de ceux qui le souhaitent et les accompagner au mieux dans leur cursus, en leur fournissant l’accès à Antidote©, une solution logicielle performante.
Ce logiciel est une aide supplémentaire à l’aide humaine, à l’accompagnement individuel.
- NOTRE OBJECTIF SOLIDAIRE : La Fondation souhaite acquérir et offrir 250 licences « Antidote » pour les besoins des étudiants dyslexiques.
- NOTRE BESOIN : acheter 250 licences du logiciel Antidote comprenant la mise à jour annuelle, soit 100€ (34€ après déduction fiscale) par étudiant en situation de handicap
Témoignage de Maxime
Etudiant à l’Université catholique de Lille
2022 ♦ Défi solidarité
“Ma dyslexie a été découverte assez tard, vers mes 14 ans. J’ai énormément de mal même si j’essaie de m’appliquer au mieux.
Alors c’est une chance immense pour moi, de bénéficier de ce logiciel Antidote©. Il m’aide à gagner du temps car je n’ai pas besoin de faire relire tout ce que j’écris. Je gagne en autonomie dans mes rédactions, je peux faire quasi tout moi-même.”
Pour des raisons de confidentialité, les photos et les prénoms de nos étudiants ont été changés.